Z dziejów Galicyjskiego Seminarium Generalnego
Abstrakt
ÉTUDE SUR L’HISTOIRE DU SEMINAIRE GÉNÉRAL DE GALICIE
La présente étude traite de la structure économique et financière du Séminaire Général de Galicie, de 1790 âl 1819. Durant le règne de Joseph II, le séminaire subsistait grâce aux „Fonds religieux”. Conformément au décret de Leopold II du 4 juillet 1790, on devait liquider l’ancien établissement et le remplacer par trois séminaires dans les dioceses de Lwów, de Przemyśl, et de Tarnów. Cependant les autorités du „Guber- nium“, tout en liquidant cet établissement, refusèrent de restituer les fondation et les bâtiments confisqués aux séminaires diocésains pendant la réalistation des réalistation des réformes introduites par Joseph II.
Les difficultés économiques et financières laissèrent une forte empreinte sur l’existence ultérieure (jusqu’en 1819) du Séminai’e Général. De 1790 à 1796, c.à. d. jusqu'a la restitution des fondations appartenant aux séminaires, l'établissement jouissait d'une certaine liberté en matière économique, car le „Gubernium“ versait des sommes destinés à l’entretien des séminaristes, et les recteurs disposaient librement de ces subventions. Mais les bureaucrates de province ne von lurent pas cesser d'exercer leur tutelle sur l'établissement. Par la voie de provocations et de répressions ils arrivèrent à forcer l'archevêque Cajetan Kicki (+1812) à accepter, en 1799, pour les affaires économiques, un comptable (Rechnungsführer) aux gages de 1’ Etat, imposé par le „Gubernium”, et devant représenter les intérêts de celui-ci. A partir de ce temps, c'etaient les employés du „Gubernium“ qui décidaient des moindres dépenses. Les séminaristes furent divisés en externes et internes. Ces derniers obtenaient des bourses majorés d’un tiers par rapport à celles des externes. Cette distinction fit naitre un ferment dans la vie des séminaristes. Les affaires relatives à l'entretien de ceux-ci ainsi que de leurs supérieurs étaient confiées à des entrepreneurs, après adjudication au „Gubernium“. Les fournisseurs étaient choisis de la même façon. De 1797 à 1816," l’Etat autrichien passait par une grave crise économique provoquée par les mauvaises récoltes et par les destructions causées par la guerre. Les finances et l’organisation économique du séminaire en souffrirent beaucoup. Tandis que par suitemde dévaluations consécutives la valeur de la monnaie baissa de 400°/o la somme des subventions ne fut augmentée que de 20°/o. Les difficultés financières ne firent qu’accroitre la malhonnêteté et les spéculations des fournisseurs, totérés par la bureaucratie corrompue. Le Séminaire fut atteint par la misère. Les séminaristes souffrant la faim enfreignaient non seulement la discipline claustrale, mais ils se qurella- ient toujours avec les fournisseurs et avec leurs supérieurs. Cet état des choses ne changea qû après 1816, mais le système économique appliqué au Séminaire Général fut introduit, avec quelques adoucisse- mentss après 1819, dans les séminaires diocésains qü on venait de fonder en Galicie. Il régla leur vie économique pendant presque tout le XIX s.
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