Obrazowanie w Quidamie
Abstract
Objaśnienia wstępne, Rzut ogólny, Struktury, Motywy w przedstawieniach wtórnych, Symbolika w opisach, Objaśnienia końcowe, Bibliografia
MÉTAPHORE DANS QUIDAM
Cyprian Norwid occupe dans la littérature polonaise une place bien importante: il est ce poète qui trouve son sujet préféré dans les problèmes de la civilisation et de l’histoire. A l’encontre des -romantiques il recherche la précision et il renonce à l’ornementation poétique. Le milieu représenté avec détails dans Quidam est un groupe international d’intellectuels de l’époque d’Adrien qui ont la conscience aiguë des difficultés politiques et philosophiques de l’époque ce qui offre à l’auteur l’occasion de donner à certaines attitudes envers la vie une forme plus conséquente et plus consciente d’elle-même. Le conflit principal se produit dans la sphère de la connaissance, dans la conscience d’un jeune Grec à la recherche de la vérité. En outre Norwid non seulement se propose de tracer l’dmage de la société ainsi que des idéologies et des croyances alors actuelles, mais encore il tâche de comprendre les lois qui sont à la base du développement de la civilisation. Il veut aussi découvrir les schèmes de la culture les plus généraux,
vivants autrefois ainsi qu’aujourd’hui. Le poète de XIXème siècle a su toucher un point sensible de nôtre époque contemporaine: il a montré la décadence des vieilles nations (grecque et juive) aussi bien que la vitalité conquérante d’un état plus jeune (romain).
L’essai intitulé Métaphore dans Quidam voudrait présenter, sur l’exemple de la métaphore, l’influence des problèmes historio- sophiques sur le choix des moyens d’expression. En s’appuyant sur les travaux des critiques anglo-américains Zdzisław Łapiński prend en considération la part de la métaphore dans la constitution d’une structure homogène et dans les procédés poétiques qui ont pour but de poser les problèmes historiques et d’évoquer une vision complexe de l’époque adrienne.
La langue métaphorique nous rend d’incomparables services lorsque nous essayons de donner une description suggestive ou bien une interprétation artistique de la matière discursive. C’est « à elle que Norwid a si abondament puisé dans les fragments de Quidam qui portent le caractère de digressions. La métaphore a pourtant assumé dans le poème une tâche plus vaste et plus lourde. La suite d’images en apparence libre, des associations inattendues, les rapprochements de représentations éloignées ont découvert — à les regarder de plus près — leur multiple sens structural.
De menus motifs de métaphore dont le poème est parsemé obéissaient à des principes bien déterminés. En liant les imagés entre elles ils accordaient l’instrument de notre sensibilité, préparaient à la réception des événements à venir, détournaient parfois l’attention du lecteur des descriptions secondaires pour la diriger vers le courant principal, rappelaient enfin des faits passés. En même temps se faisant à côté un autre travail — les images évoquées par la métaphore saturaient imperceptiblement le poème de la sève de l’époque; en introduisant des ,;réalités” elles donnaient "le reflet des formes contemporaines de la pensée et de la vie.
Une des plus importantes fonctions de la métaphore était de communiquer - par des moyens suggestifs — l’analyse et le jugement porté sur le monde présenté. Des images particulières, en agissant l’une sur l’autre, constituaient tout un réseau de symboles que Norwid a déployé dans son poème pour marquer les trois cercles civilisateurs (grec, juif, romain) et les forces naissantes du christianisme.
Si la construction d’images limitée aux structures verbales de moindre envergure (comparaison, périphrase, métaphore etc.) touchait le plus souvent au but par un frôlement de notre conscience, par l’accentuation progressive des traits délimitant les significations sous-entendues, le même procédé étendu sur des descriptions symboliques frappait d’habitude plus directement en conservant pourtant nécessairement ses plusieurs sens et son caractère d’allusion.
Parallèlement aux effets obtenus grâce aux motifs de métaphore le poète attachait de l’importance à certains types structuraux servant de cadres organisateurs à ces motifs-là. A côte d’une simple comparaison et de la métaphore qui par leur structure servaient l’oeuvre d’une façon moins manifeste et qui devraient communiquer certaines représentations déterminées, ont apparu des démarches indiviualiséçs à un très haut dgrêe.
En transformant la poétique de l’oeuvre épique (réduction de la prépondérance de la narration, rôle plus grand de l’élément philosophique etc.), Norwid a changé aussi la fonction de la comparaison appelée homérique. La comparaison développée — sans cesser d’être un élément de la licence épique — introduit dans le poème quelque chose qui souvent s’approche devantage de la peinture.
La description du monde antique a fait naître le besoin d’une légère stylisation — d’où la périphrase. L’intérêt porté au sens de l’histoire humaine (intérêt qui était à l’origine de Quidam) s’est exprimé le plus spontanément dans la personification des concepts abstraits.
Le paradoxe par contre expliquait le fond étrange des choses, le fond positif aussi bien que négatif, et l’ironie donnait à l’images sa multivalence, nuançait sa multipe signification, accusait d’une manière complexe et indirecte la civilisation reprécentée et en xpême temps — la civilisation européenne.
Les différentes fonctions de la métaphore décrites dans le travail de Zdzisław Łapiński s’opposent à l’opinion traditionnelle d’après laquelle le but essentiel de la métaphore résiderait dans l’émo- tibnnel et dans le pittoresque. Ce but est beacup plus ipmortant et beaucoup plus différencié.
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