Cyprian Norwid i parnas polski
Abstrakt
Cyprian Norwid et Parnasse Polonais
L’inédit recueil de Norwid Vade-mecum fût fini aux jours dans débuts du Parnasse contemporain, rien pourtant ne témoigne que son auteur s’en fût intéressé. Le cercle de Parnasse formé autour de Leconte de Lisle proclamait une modération de sensibilité et d’égotisme romantiques et aussi le culte de l’art pour l’art, initié jadis par Théophile Gautier. Il est très facile d’identifier tout esthétisme avec le programme du Parnasse, mais à vrai dire il y en avait beaucoup et différents. Norwid aussi demanda dans l’introduction de son recueil la liberté de l’art, sans la consacrer aux devoirs que pouvait exercer la presse, mais sans rénier ses devoirs envers le Vrai et le Bien. Il y avait, certes, quelques ressemblances entre le chef du Parnasse et Norwid: l’impopularité, l’indigence, une haute notion de poésie, l’intérêt pour l’antiquité et pour toute l’histoire, leurs personnalités pourtant étaient toutes différentes. Norwid était un fervent catholique et spiritualiste, et pas du tout néoclassiciste comme Leconte de Lisle dont la personne cache assez des mystifications retouchante son image ou mieux - son monument. Cette correction après le succès final du poète fait voir la différence du visage de Norwid qui mourut dans un asile pour pauvres émigrants polonais et dont le succès ne vint qu’après sa mort. Son art poétique surtout était différente de celle de Leconte de Lisle. Par exemple sa versification au temps de Vade-mecum ressemble plutôt à l’„Impair” de Paul Verlaine. Les grands mètres polonais étaient d’habitude impairs (de 13 ou 11 syllabe) et, sauf le très populaire 8-syllabe, tout le reste (dès 5 aux 14) était admis surtout dans les strophes lyriques. Les mètres nouveaux de Norwid, ou mieux ses métroïdes, étaient privés de césure médiane et un peu imprécis en nombre des syllabes. C’est cela qui rend leurs flexibilité, solubilité et vastitude. On peut comparer l’Art poétique de Verlaine avec les Cacka (Joujoux) de Vade-mecum pour conclure que Norwid devança le Parnasse et devint un précoce symboliste. Même la notion du monde réel menait le poète vers une création parabolique ou symbolique. Son style un peu énigmatique, plein de reticences, parait aussi plus symboliste que parnassien. Ces caractères de son art poétique différent bien de la précision et de la clarté parnassienne rendants un monde homogène et positif. Car les idées de Leconte de Lisle étaient d’accord avec celles de Renan et de Taine. Or, construire un prétendu courant parnassien polonais autour de Norwid est évidemment impossible.
On a proposé le nom des parnassiens pour d’autres poètes, la question n’est pas donc nouvelle. Il faut d’abord exclure un tout petit cercle, ou plutôt une cotérie presque privée, qui prit le nom du „Parnasse polonais” vers la fin du XIXe. Les historiens de la littérature n’y consacrent point d’attention. Pour eux, l’épithète des parnassiens méritent: Felicjan Fa- lenski, Adam Asnyk, Maria Konopnicka et Wiktor Gomulicki. S’étaient vraiment des poètes éminents, mais ils n’ont formé aucun groupe lié, d’autant plus que les dates de leur naissances sont trop éparses (1825, 1838, 1842, 1851). Ce qui les unissait, le bon métier poétique, n’abolit pas des différences d’idées et d’inspirations. Falenski, contemporain de Leconte de Lisle et de Norwid, leur ressemble par son intérêt pour l’antiquité, pour l’histoire, il était néoclassique comme le chef du Parnasse français et fervent catholique comme Norwid. Sa tragédie Althée devance les Erinnyes d’un an et ses ballades barbares sont contemporaines aux Poésies barbares. Il démontra son originalité dans le Méandres, épigrammes rimés abbaab mais allusifs aux menus poésies de Kochanowski (Fraszki - Epigrammes). Son personnage était bien complexe ainsi que ses idées. Satyrique et humoriste, pessimiste croyant, il traitait parfois le monde réel comme une illusion rendue par la volonté d’existence. On reconnaît ici la doctrine de Schopenhauer qui n’était étrangère non plus aux idées d’Asnyk, un poète lyrique subtil comme Sully Prudhomme, mais toujours spiritualiste, même dans ses jeunes attaques contre l’Eglise. Konopnicka, poétesse dévouée aux humbles et aux idées sociales, puisait le mélodieux de ses vers dans le folklore mazovien, continuant le courant romantique représenté par Teofil Lenartowicz. Sa pitié pour les humbles fait penser à François Coppée, mais plus tard, vers la fin du siècle elle entra dans sa période esthétique, très noble et élevée. Gomulicki, poète citadin, amoureux du petit monde de Varsovie, étalait dans son art poétique les inspirations plutôt Baudelairiennes; quelques traits néoclassiques ne permettent pas assez de le traiter comme un vrai parnassien.
La translation du terme „pamsase” dans les circonstances où vivaient et créaient les poètes polonais dans la seconde moitié du XIXe paraît trop arbitraire et trop mécanique pour être juste. Elle ne peut pas servir la périodisation littéraire et non plus la description des courants poétiques. D’habitude on nomme chez nous la période après la chute de l’insurrection de janvier (1863-1864) positivisme. En vérité un jeune cercle d’écrivains et publicistes, montant l'étendard du positivisme scientifique, proclame une littérature utilitaire et pragmatique, et se mit a combattre tout l’epichétieme. C’est Faleński qui devint une victime du combat avec d’autres „absectéietes”. Cette qwereie dns jeunes et des viens commença vers 1870 et aOa finir avant 1880. Mais elle n'autorise pas d’admettre une durable opposition de deux courants, car la victoire tomba en partage au réalisme. Il s’en suit que la notion du parnasse polonais n est pas juste, n est pas édatrcrasante, qu’elle est superflue.
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